Quatrième ville d'Algérie avec prés de 305 000 habitants, port drainant les richesses minières et agricole de l'Est algérien, centre industriel proche du puissant complexe sidérurgique d'El Hadjar, Annaba présente l'aspect d'une ville moderne en pleine expansion.
Un urbanisme de bon aloi et sa situation même y rendent le séjour agréable. En outre, la mise au jour d'une grande partie de l'antique ville d'Hippo Reguis – Hippone place Annaba parmi les grands centres touristiques du Maghreb.
Plante de ficus ombreux, orné de parterres fleuris, bordé de maison à arcade et de magasins, le cours est à Annaba ce que les Ramblas sont pour Barcelone.
Toute la journée, et davantage le soir, la ville entière s'y retrouve. On y déambule avec nonchalance! A droite du cours en venant du port, la « Annaba » occupe une butte rocheuse que la mer jadis venait lécher
Des rues en pente et des ruelles en escaliers conduisent jusqu'à la mosquée Sidi Bou Merouane d'où l'on a vue sur le port, plusieurs colonnes de la salle de prière proviennent des ruines d'Hippone.
Au centre du vieux quartier, une place ombragée, la place du 19 Août (place d'armes) est envahie par les guéridons des cafés d'alentour.
La façade d'une mosquée du XVI siècle en occupe un coté et un minaret fuselé, caractéristique de l'époque turque, domine les vieux toits.
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