jeudi 25 septembre 2014

Alger



  • LLe Front de Mer d'Alger
  • Capitale politique, administrative et économique de l’Algérie et port de la Méditerranée. L’agglomération du grand Alger compte 2,5 millions d’habitants dont 1 million dans le centre (la ville d’Alger).
  • Alger est une métropole complexe mais aussi une ville très simple à saisir : la baie en faucille, la cité accrochée au-dessus d’un petit port et des promontoires assurent une bonne protection.
  • Ses étendus à l’Est, à l’Ouest en ramifications latérales amplifient l’impression de grandeur.
  • La ville d'Alger est un labyrinthe de ruelles et d’impasses ; les escaliers, très nombreux et très variés (larges, étroits, hauts…) sont très pratiques pour sillonner cette architecture en cascades.

  • Le Jardin d'Essai d'Alger
  • Les constructions coloniales, se mêlent aux constructions musulmanes avec une parfaite homogénéité, peintes en blanc elles donnent à Alger l’impression d’étendue, un air marin et une pureté unique. Sous la colonisation française, Alger se doubla, plus que toutes les autres villes d’Algérie, d’une nouvelle vie et ville européenne.
  • Dans beaucoup de quartiers, les rues à arcades rappellent fortement celles de la rue Rivoli à Paris. La vie à Alger est trépidante, l’activité économique, scientifique, sociale et culturelle y est très riche. C’est surtout une ville de jeunes, d’étudiants qui s’organisent en associations, qui sortent et qui vivent !
  • Les manifestations culturelles, les manifestations sportives, les concerts de musiques, les spectacles et les fêtes sont toujours joyeusement célébrés.

  • La Basilique Notre Dame d'Afrique d'Alger
  • Le boulevard Mohamed Khémisti : Cette trouée face à la mer marque l'axe médian de la ville. Cette large voie s'élève vers l'esplanade de l'Afrique (belle vue), face au Palais du Gouvernement, il est dominé par la masse rectangulaire de l'hôtel Aurassi.
  • Au bas du Boulevard : la Grande Poste (style néo-mauresque).
  • Le Front de Mer : On y trouve les Boulevards Zighout Youcef et Ernesto Che Guevara, on traverse la Place Mohamed Touri où se trouve le TNA (théatre national algérien) - La Gare Centrale d'Alger est située en contre-bas de cette place - Plus au Nord : les constructions harmonieuses de l'Amirauté prolongeant le Front de Mer. L'Amirauté est batie sur un des ilôts primitifs qui donnèrent leur nom à la cité (el-djazair). C'est là que Pédro Navarro avait édifié le Penon pour menacer la ville d'Alger.
  • La Place des Martyrs : Elle a longtemps constituée le centre d'Alger. L'animation y est toujours très importante. Elle fut réalisée du temps de l'occupation française, au pied de la Casbah dont on a démoli une partie pour les besoins de la cause. La Casbah s'élève à l'ouest de la Place.
  • Djemaa El Djedid : (Sur la Place des Martyrs) La nouvelle mosquée appelée aussi Mosquée de la Pêcherie en raison de la proximité de la Halle des poissons. Elle fût bâtie en 1660 à l'époque de la régence turque, selon un plan en forme de croix.
  • Djemaa El Kébir : La Grande Mosquée, c'est la plus ancienne d'Alger, elle fût construite au XIème siècle par l'almoravide Ibn Tachfin. La décoration intérieure est sobre et les lignes sont pures.
  • Mosquée Ketchaoua : Bâtie en 1794 par le Dey Baba Hassan, elle servit plus tard au culte catholique et fut transformée en cathédrale, avant d'être récupérée par le culte musulman à l'indépendance. En face de la Mosquée Ketchaoua se trouve la belle demeure : Dar Aziza Bent El Bey (le palais de la Princesse Aziza).

  • La Casbah d'Alger
  • La Casbah : Elle constitue la vieille ville d'Alger, la cité turque autour de laquelle se sont pressées des constructions hétéroclites. A l'origine le mot "casbah" désignait la citadelle qui surplombait la ville "la médina", peu à peu le terme engloba la cité elle-même.
  • Les remparts qui protégeaient la Casbah, ainsi que le haut et le bas de la cité ont aujourd'hui disparus. "Construisant leur casbah, les anciens avaient atteint au chef-d'oeuvre d'architecture et d'urbanisme" disait le Corbusier.
  • En effet, cette masse compacte au coeur d'Alger ne cesse d'émerveiller et de surprendre. Accrochées à flanc de colline, les maisons se superposent, les terrasses dominent d'autres terrasses où, sur fond de mer, flottent des lessives bariolées. Des rampes, des escaliers, des ruelles sous encorbellements ou parfois couvertes, des chicanes, des boyaux, tout fait de la casbah un véritable labyrinthe, où l'on a plaisir à se perdre.
  • Musée des Arts et Traditions Populaires : Dans le bas de la Casbah, le musée est installé dans l'ancien palais de Khedaouedj El Amia (une belle princesse qui perdit brutalement la vue). L'élégante demeure a été construite au XIV° siècle sur l'emplacement d'une zaouia du XII°siècle. Citadelle : En haut de la Casbah, ce fort situé à un point culminant (on y accédait par Bab El Djedid) regroupait le palais du Dey et des édifices d'utilité militaire.
  • Bab El Oued : Quartier s'étirant au nord-ouest de la Casbah, bâti à la fin du siècle dernier, ce quartier européen grouillait de petits commerçants. C'est encore là que l'on peut se procurer les produits introuvables ailleurs.
  • Riadh El Feth : A côté de l'immense monument de béton de 92 mètres de haut (on le surnomme "Houbel") un complexe de 146 ha qui se veut à la fois temple de la culture et centre des arts. Au milieu des jjardins, des centres socio-culturels, des bibliothèques, un théatre de plein air, trois cinémas et des boutiques et restaurants en tout genre







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