dimanche 12 octobre 2014

jeudi 25 septembre 2014

Alger



  • LLe Front de Mer d'Alger
  • Capitale politique, administrative et économique de l’Algérie et port de la Méditerranée. L’agglomération du grand Alger compte 2,5 millions d’habitants dont 1 million dans le centre (la ville d’Alger).
  • Alger est une métropole complexe mais aussi une ville très simple à saisir : la baie en faucille, la cité accrochée au-dessus d’un petit port et des promontoires assurent une bonne protection.
  • Ses étendus à l’Est, à l’Ouest en ramifications latérales amplifient l’impression de grandeur.
  • La ville d'Alger est un labyrinthe de ruelles et d’impasses ; les escaliers, très nombreux et très variés (larges, étroits, hauts…) sont très pratiques pour sillonner cette architecture en cascades.

  • Le Jardin d'Essai d'Alger
  • Les constructions coloniales, se mêlent aux constructions musulmanes avec une parfaite homogénéité, peintes en blanc elles donnent à Alger l’impression d’étendue, un air marin et une pureté unique. Sous la colonisation française, Alger se doubla, plus que toutes les autres villes d’Algérie, d’une nouvelle vie et ville européenne.
  • Dans beaucoup de quartiers, les rues à arcades rappellent fortement celles de la rue Rivoli à Paris. La vie à Alger est trépidante, l’activité économique, scientifique, sociale et culturelle y est très riche. C’est surtout une ville de jeunes, d’étudiants qui s’organisent en associations, qui sortent et qui vivent !
  • Les manifestations culturelles, les manifestations sportives, les concerts de musiques, les spectacles et les fêtes sont toujours joyeusement célébrés.

  • La Basilique Notre Dame d'Afrique d'Alger
  • Le boulevard Mohamed Khémisti : Cette trouée face à la mer marque l'axe médian de la ville. Cette large voie s'élève vers l'esplanade de l'Afrique (belle vue), face au Palais du Gouvernement, il est dominé par la masse rectangulaire de l'hôtel Aurassi.
  • Au bas du Boulevard : la Grande Poste (style néo-mauresque).
  • Le Front de Mer : On y trouve les Boulevards Zighout Youcef et Ernesto Che Guevara, on traverse la Place Mohamed Touri où se trouve le TNA (théatre national algérien) - La Gare Centrale d'Alger est située en contre-bas de cette place - Plus au Nord : les constructions harmonieuses de l'Amirauté prolongeant le Front de Mer. L'Amirauté est batie sur un des ilôts primitifs qui donnèrent leur nom à la cité (el-djazair). C'est là que Pédro Navarro avait édifié le Penon pour menacer la ville d'Alger.
  • La Place des Martyrs : Elle a longtemps constituée le centre d'Alger. L'animation y est toujours très importante. Elle fut réalisée du temps de l'occupation française, au pied de la Casbah dont on a démoli une partie pour les besoins de la cause. La Casbah s'élève à l'ouest de la Place.
  • Djemaa El Djedid : (Sur la Place des Martyrs) La nouvelle mosquée appelée aussi Mosquée de la Pêcherie en raison de la proximité de la Halle des poissons. Elle fût bâtie en 1660 à l'époque de la régence turque, selon un plan en forme de croix.
  • Djemaa El Kébir : La Grande Mosquée, c'est la plus ancienne d'Alger, elle fût construite au XIème siècle par l'almoravide Ibn Tachfin. La décoration intérieure est sobre et les lignes sont pures.
  • Mosquée Ketchaoua : Bâtie en 1794 par le Dey Baba Hassan, elle servit plus tard au culte catholique et fut transformée en cathédrale, avant d'être récupérée par le culte musulman à l'indépendance. En face de la Mosquée Ketchaoua se trouve la belle demeure : Dar Aziza Bent El Bey (le palais de la Princesse Aziza).

  • La Casbah d'Alger
  • La Casbah : Elle constitue la vieille ville d'Alger, la cité turque autour de laquelle se sont pressées des constructions hétéroclites. A l'origine le mot "casbah" désignait la citadelle qui surplombait la ville "la médina", peu à peu le terme engloba la cité elle-même.
  • Les remparts qui protégeaient la Casbah, ainsi que le haut et le bas de la cité ont aujourd'hui disparus. "Construisant leur casbah, les anciens avaient atteint au chef-d'oeuvre d'architecture et d'urbanisme" disait le Corbusier.
  • En effet, cette masse compacte au coeur d'Alger ne cesse d'émerveiller et de surprendre. Accrochées à flanc de colline, les maisons se superposent, les terrasses dominent d'autres terrasses où, sur fond de mer, flottent des lessives bariolées. Des rampes, des escaliers, des ruelles sous encorbellements ou parfois couvertes, des chicanes, des boyaux, tout fait de la casbah un véritable labyrinthe, où l'on a plaisir à se perdre.
  • Musée des Arts et Traditions Populaires : Dans le bas de la Casbah, le musée est installé dans l'ancien palais de Khedaouedj El Amia (une belle princesse qui perdit brutalement la vue). L'élégante demeure a été construite au XIV° siècle sur l'emplacement d'une zaouia du XII°siècle. Citadelle : En haut de la Casbah, ce fort situé à un point culminant (on y accédait par Bab El Djedid) regroupait le palais du Dey et des édifices d'utilité militaire.
  • Bab El Oued : Quartier s'étirant au nord-ouest de la Casbah, bâti à la fin du siècle dernier, ce quartier européen grouillait de petits commerçants. C'est encore là que l'on peut se procurer les produits introuvables ailleurs.
  • Riadh El Feth : A côté de l'immense monument de béton de 92 mètres de haut (on le surnomme "Houbel") un complexe de 146 ha qui se veut à la fois temple de la culture et centre des arts. Au milieu des jjardins, des centres socio-culturels, des bibliothèques, un théatre de plein air, trois cinémas et des boutiques et restaurants en tout genre







Constantine

La ville de




Constantine (en arabe Qacentina) est une ville de nord-est de l'Algérie, elle est également le chef-lieu de la Wilaya du même nom. La population de la ville est estimée à 448 374 habitants (2008). Constantine est aussi connue sous d'autres noms comme « la ville des ponts suspendus » ou bien « la ville des aigles ».
Constantine possède un charme unique en son genre de par son histoire et ses richesses naturelles, une ville littéralement coupée en deux par                                                                  Constantine, à l'origine...
La fondation de la ville remonte à -202 av. JC., autrefois Constantine était une importante ville phénicienne appelé Cirta, elle devenu la capitale du Royaume de la Numidie lors du règne de Massinissa qui était à l'époque l'allié de Rome.
En l'an 301 ap. JC, Cirta fût détruite complètement lors de la guerre entre l'empereur romain Maxence et le gouverneur romain Domitius Alexander. Quelques années plus tard l'empereur Romain Constantin Ier reconstruis la ville et lui donna le nom qu'elle porte maintenant depuis 17 siècles. Constantine fût conquise lors de l'invasion arabe au 7ème siècle, les arabes lui donnèrent le nom de Qusantina.
Le 13 octobre 1837, après une lutte farouche contre l'occupant français, Constantine tombe et devient partie intégrante de l'Algérie française. Durant la Seconde Guerre Mondiale, Constantine est utilisée comme base opérationnelles par les forces alliées.un vide abyssal que relient de multiples ponts...
La situation géographique de Constantine
La ville est située sur un plateau rocheux à 640 mètres au-dessus du niveau de la mer. Elle est littéralement coupée en deux par un profond ravin où coule l'oued Rhummel. Le ravin est traversé par quatre ponts qui relient la ville entre elle. Le canyon fait 1 800 m de long et atteint une profondeur de 135 m à son début à près de 200 m au niveau du pont de Sidi M'cid.
Constantine bénéficie d'un climat de type continental caractérisé par des minimales de 0 à 12° en hiver et des maximales de 25 à 45° en été.
Constantine, une économie à développé
Constantine dispose d'une zone agricole prospère et diversifiée, autrefois Constantine était le grenier de l'Empire Romain.
Constantine est tournée vers l'international, preuve en est, la ville est jumelée avec les villes d'Istanbul (Turquie), de Grenoble (France), de Mulhouse (France) et de Sousse (Tunisie).
Les infrastructures de transports sont conséquentes avec notamment la présence d'un aéroport international, d'une gare ferroviaire et d'une gare routière. Un projet de construction d'un tramway est en cours (2012).
La ville de Constantine est aussi un important centre culturel, architectural et industriel avec notamment la présence de deux grandes universités : l'université Mentouri de Constantine (UMC) est l'une des plus grandes d'Algérie et l'université des sciences islamiques, une merveille architecturale.
Les endroits à visiter de Constantine :
- Le Pont Suspendu de Sidi M'Cid a été construit en 1912 juste en haut d'une arche naturelle. Le pont est d'une longueur de 164m et d'une hauteur de 175m, depuis le pont la vue offerte sur les gorges et la vallée du Hamma est fantastique.
- Le Monument aux Morts est un Arc de Triomphe situé en haut d'une falaise de la rive droite offrant une superbe vue sur Constantine.
- Le Pont d'El Kantara, le Pont Sidi-Rached, le Pont du Diable et le Pont des Chutes.
- La Mosquée Emir Abdelkader qui partage les bâtiments de l'Université des Sciences Islamiques est un chef d'oeuvre architectural de l'art arabo-andalou.
- Le Musée de Cirta date de 1930 et présente diver vestiges antiques, numides et romains ainsi que des collections de peintures orientalistes du XIXe siècle.
- La Brèche (Place du 1er Novembre) est une place du centre ville de Constantine, elle tient son nom du fait de l'invasion française, c'est à cet emplacement que les soldats français furent une percée et ainsi occupé la ville.

Annaba

Quatrième ville d'Algérie avec prés de 305 000 habitants, port drainant les richesses minières et agricole de l'Est algérien, centre industriel proche du puissant complexe sidérurgique d'El Hadjar, Annaba présente l'aspect d'une ville moderne en pleine expansion.
Un urbanisme de bon aloi et sa situation même y rendent le séjour agréable. En outre, la mise au jour d'une grande partie de l'antique ville d'Hippo Reguis – Hippone place Annaba parmi les grands centres touristiques du Maghreb.
Plante de ficus ombreux, orné de parterres fleuris, bordé de maison à arcade et de magasins, le cours est à Annaba ce que les Ramblas sont pour Barcelone.
Toute la journée, et davantage le soir, la ville entière s'y retrouve. On y déambule avec nonchalance! A droite du cours en venant du port, la « Annaba » occupe une butte rocheuse que la mer jadis venait lécher
Des rues en pente et des ruelles en escaliers conduisent jusqu'à la mosquée Sidi Bou Merouane d'où l'on a vue sur le port, plusieurs colonnes de la salle de prière proviennent des ruines d'Hippone.
Au centre du vieux quartier, une place ombragée, la place du 19 Août (place d'armes) est envahie par les guéridons des cafés d'alentour.
La façade d'une mosquée du XVI siècle en occupe un coté et un minaret fuselé, caractéristique de l'époque turque, domine les vieux toits.




La wilaya de Béchar

La wilaya de Béchar est située à l'ouest de l'Algérie en plein désert saharien.
La population totale de la wilaya est estimée selon le dernier recensement à 273 208 habitants et la superficie totale de la wilaya est de 162 200 km2.
La wilaya de Béchar est entourée au nord par la wilaya de Naâma, à l'est par la wilaya d'El Bayadh, à l'ouest par le Maroc et au sud par les wilayas d'Adrar et de Tindouf.
Les principaux reliefs de la wilaya sont composés de :
- Montagnes : Djebel Antar (1 953 m), Djebel Grouz (1 835 m), Djebel Béchar (1 206 m).
- Oueds : Oued Namous, Oued Zouzfana, Oued Béchar, Oued Guir, Oued Saoura et Oued Daoura.
- Vallées : Vallée de la Zouzfana, Vallée du Guir, Vallée de la Saoura.
- Regs (vastes étendues rocailleuses) : Regs Guir et Regs Daoura.
- Ergs (massifs dunaires) : Grand Erg Occidental, Erg Erraoui, Erg El Atchane et Erg Iguidi.
Le climat de la wilaya de Béchar est de type désertique continental qui se caractérise par un été très chaud (+45°C) et un hiver très froid (2°C à 3°C). Les précipitations sont de faible niveau avec 60 mm/an. Les vents de sables sont très fréquents et violents pouvant atteindre la vitesse de 100 km/h.
L'économie de la wilaya de Béchar est surtout porté sur l'agriculture (palmiers-dattiers) et le tourisme.
La wilaya dispose également de ressources minières non négligeables avec notamment le calcaire (Djebel Madjouz), les schistes (Benzireg), l'argile, le sable (Taghit, Ksabi, Tabelbala et Béni Abbès), les grès (Oued Sfala), l'agate (Béchar), le cuivre (Bou Kais, Benzireg), le plomb (Benzireg, Bou Kais), le fer (chaîne de l'augarta), le manganèse (Guetara), le charbon (bassin de Béchar Kenadsa, bassin Nezarif), le sel (Sebkhat El Mellah), l'eau minéral (Moughel).
Les infrastructures routières dont dispose la wilaya sont les suivantes : 1 108 km de routes nationales, 486 km de chemins de wilaya, 184.2 km de chemins communaux, 842 km de pistes non classés et 140 km de pistes frontalières.






La Wilaya de Chlef

La Wilaya de Chlef est située dans le nord de l'Algérie à environ 200km à l'ouest d'Alger. La superficie totale de la wilaya est de 4 791 km².
La wilaya possède 120km de côtes sur la méditerranée. Elle dispose notamment de trois ensembles géographiques avec la chaine de la Dahra au nord, les monts de l'Ouarsenis au sud et la plaine du Cheliff entre les deux.
Le nord de la wilaya dispose d'un climat doux et très humide. Le sud de la wilaya subit un climat chaud et sec en été, froid et pluvieux en hiver.
La wilaya est entourée au nord par le mer méditerranée, à l'est par les Wilayas de Tipaza et Aïn Defla, à l'ouest par la wilaya de Mostagnem et enfin au sud par les wilayas de Tissemsilt et Relizane.
Au dernier recensement, la population de la wilaya s'élevait à 1 095 160 habitants. La langue arabe est parlé par 90% de la population de la wilaya, le reste parlant une langue berbère locale.
L'économie est essentiellement composé de l'agriculture et de l'élevage.




Wilaya d'Oum El Bouaghi

La wilaya d'Oum El Bouaghi est située au nord est de l'Algérie. La wilaya est issue du découpage administratif de 1974, autrefois elle dépendait de la wilaya de Constantine.
Le chef-lieu de la wilaya est la ville du même nom Oum El Bouaghi, la capitale de la wilaya est peuplée de 61 828 habitants (estimation 2011).
La population totale de la wilaya est de 674 037 habitants et la superficie est de 7 638 km²
La wilaya d'Oum El Bouaghi est entourée au nord par les wilayas de Guelma et Constantine, à l'ouest les wilayas de Batna et de Mila, à l'est les wilayas de Souk Ahras et Tébessa et au sud la wilaya de Khenchela.
Le climat de la wilaya d'Oum El Bouaghi est de type saharien, méditerranéen et polaire qui donne comme résultat un hiver très froid et rigoureux avec des épisodes neigeux importants et un été très chaud et sec du fait de l'éloignement de la mer.
La wilaya d'Oum El Bouaghi dispose surtout d'une économie "rurale" avec l'agriculture, l'élevage et quelques unités industrielles locales.



Wilaya de Biskra

La wilaya de Biskra est situé au centre-est de l'Algérie dans la région des Aurès aux portes du désert du Sahara. Le chef-lieu de la wilaya est la ville de Biskra. La wilaya de Biskra est wilaya depuis le découpage administratif de 1974.
La wilaya de Biskra est limitée au nord par la wilaya de Batna, à l'est par la wilaya de Khenchela, à l'ouest par la wilaya de Djelfa et au sud par la wilaya de Ouargla.
La superficie totale de la wilaya est de 20 986 km², la population estimée selon le dernier recensement est de 772 746 habitants.
Le climat de la wilaya de Biskra est de type saharien sec, la pluviométrie est de 120 à 150 mm/an. La température moyenne est de 20,8 degrés C°.
L'économie de la wilaya est surtout axée sur l'agriculture avec la culture des dattes, la wilaya dispose d'un patrimoine estimé de 4,1 millions de palmiers-dattiers. Les daïras de Oulal, Tolga et Foughala concentre le plus gros des palmiers-dattiers, les autres daïras cultive essentiellement des cultures maraîchères. Bénéficiant de sols fertiles, la superficie agricole couvre 77% de la superficie globale de la wilaya.
Les ressources hydrauliques de la wilaya de Biskra sont de 788.16 Hm3.
La wilaya de Biskra dispose également d'importantes ressources minères utiles aux matériaux de construction du BTP et dispose notamment d'une zone industrielle et de plusieurs zones d'activité. Les principales branches d'activités économiques sont l'imprimerie, les matériaux de construction, les textiles, la minoterie, les cables électriques, le papier et la menuiserie.
La wilaya de Biskra abrite plusieurs sites archéologiques d'une importance avérée pour le tourisme.





Wilaya d'Adrar

La Wilaya d'Adrar est situé dans le sud-ouest de l'Algérie. Elle est en superficie la deuxième plus grande wilaya d'Algérie avec 427 368 km².
Majoritairement occupée par le Sahara, la wilaya est peu peuplée avec seulement 432 193 habitants (estimation 1er janvier 2011).
Le mot Adrar signifie en langue berbère "montagne".
Au nord de la wilaya se trouve les wilayas de Ghardaïa et d'El Bayedh, à l'ouest les wilayas de Béchar et de Tindouf, à l'est la wilaya de Tamanrasset et au sud la Mauritanie et le Mali.
La Wilaya d'Adrar à pour principale économie l'agriculture avec notamment son système d'irrigation la « foggara ».
La Wilaya dispose notamment d’un important potentiel en énergies renouvelables grâce à une bonne durée d’ensoleillement (9,2 h par jour) et aux caractéristiques physiques du vent (permanence, force 2 à 6 m/s, unidirectionnalité…).
Quatre régions sont situés dans la wilaya d'Adrar :
- Le Gourara (région de Timimoun).
- Le Touat (région d’Adrar).
- Le Tidikelt (région d’Aoulef).
- La Tanezrouft (région de Bordj Badji Mokhtar).



Wilaya de Laghouat

La wilaya de Laghouat est situé en plein centre du pays à 400km de la capitale Alger. La signification du nom Laghouat signifie "oasis". La capitale de la wilaya est la ville du même nom Laghouat. Les autres grandes villes de la wilaya de Laghouat sont Aflou, Aïn Madhi, Kourdane et Makhareg.
La wilaya est limitée géographiquement au nord par la wilaya de Tiaret, à l'est par la wilaya de Djelfa, à l'ouest par la wilaya d'El Bayadh et au sud par la wilaya de Ghardaïa.
Le climat de la wilaya de Laghouat est continental aride avec des températures moyennes de -5 °C l'hiver et de plus de 40 °C l'été.
A l'exception de l'important champ gazier de Hassi R'mel, la vocation de la wilaya de Laghouat est à caractère agro-pastorale.
Au dernier recensement, la population de la wilaya s'élevait à 484 252 habitants.








Béjaïa est une ville située en bordure de la mer Méditerranée à 
180 km à l'est d'Alger. Elle est le chef-lieu épnonyme de la wilaya de Béjaïa et la plus grande ville de la Kabylie.
Autrefois, à l'époque Romaine la ville était connue sous le nom de Saldae, au Moyen Âge elle devient une cité très prospères devant notamment la capitale de grandes dynasties musulmanes. Du temps de la colonisation française la ville était appelé Bougie en raison de la qualité de ses chandelles faites de cire d'abeille.
En termes de population, Béjaïa est la plus grande ville de Kabylie avec notamment 187 076 habitants lors du dernier recensement datant de 2005. Du fait de sa situation géographique, elle est également le plus important pôle industriel de la région concentrant de nombreuses industries grâce à la présence d'un des plus grands ports pétroliers et commerciaux de Méditerranée.
La ville de Béjaïa dispose d'un aéroport international situé à 5 mn de la ville, d'un port pour voyageurs, d'une gare des trains et d'une gare routière.
Béjaïa dispose d'une université baptisée au nom de Abderrahmane Mira (un martyr de la guerre d'Algérie). L'établissement dispose d'un effectif de 698 enseignants pour 22 792 étudiants (2006).
L'université compte actuellement sept facultés :
- Faculté de Technologie.
- Faculté des Lettres, des Sciences Humaines et du sport.
- Faculté de Droit.
- Faculté des Sciences Économiques, des sciences de gestion et des sciences commerciales.
- Faculté de Médecine.
- Faculté des Sciences Exactes.
- Faculté de la Nature et de la Vie.






batna







Transports



Le réseau routier de wilaya de Batna est passé de 495 km à l’indépendance à 3,500 km en 2012, dont 850 km de routes nationales.
La voie ferrée des Hauts-plateaux traverse la wilaya de Batna sur une distance de 200 km.

Histoire

Le mausolée de Madracen date de 300 ans avant J.C. Il s'agit d'un monument numide et du plus ancien mausolée de l'Algérie.
Des écrits romains[Lesquels ?] nous révèlent une partie de l'histoire des Aurès. Les Aurès étaient habités par les Libyens, lesGétules (Zénètes). La population des Aurès était appelée les Numides. Plusieurs conquérants se sont fondus dans la population comme les Romains, les Vandales, les Byzantins et les Arabes. Plusieurs royaumes étaient établis avant l'arrivée des Romains dans la région des Aurès. Sous Massinissa, les Aurès faisaient partie du royaume de la Numidie.
Plusieurs révoltes berbères eurent lieu contre les Romains : Tacfarinas s'est révolté contre les Romains. Faraxen6, venant duDjudjura, attaque la Numidie romaine7, avec l'aide de cinq tribus, les Quinquegentiani et les Babares et les tribus originaires des Aurès, du sud et du Hodna. Il est capturé à Lambèse, à 10 km de Batna, comme l'indiquent des inscriptions sur place[Lesquelles ?].
Les Vandales et les Byzantins vont influencer la région. Plusieurs révoltes sont recensées par les historiens dans la région des Aurès[Lesquels ?]. Les musulmans arrivent pour islamiser la région[Quand ?]Koceila et Dihya vont s'imposer dans la région et dans tout l'est de l'Afrique du Nord.
Au viie siècle, d'après Ibn Khaldoun, les Aurès étaient principalement habités des Aurébas tribu de Koceila, des ZénètesDjerawa tribu de la reine Kahina et des Houaras8.
L'unité politique et administrative de la Berbérie Orientale et Centrale est en grande partie réalisée par Kusayla qui s'était converti à l'islam. Un conflit éclate entre ce chef berbère et le chef des armées omeyyades[Quand ?]Kairouan est prise par Koceila, ce dernier s'est reconverti au christianisme. Oqba Ibn Nafaa tue Koceila. Dihya, dite la Kahina, prend la tête de la résistance. Issue de la tribu des Djerawa, une tribu zénète implantée dans les Aurès comme le furent plusieurs rois (agellid, pluriel igelliden) berbères de Numidie a été élue ou nommée à cette charge par le conseil de la confédération des tribus.Dihya tue Oqba Ibn Nafaa selon Ibn Khaldoun. Elle venge Koceila.
Dihya procéda ainsi à la réunification de nombreuses tribus de l'Afrique du Nord orientale et du Sud. Dihya défait par deux fois la grande armée des Omeyyades grâce à l'apport des cavaliers des Banou Ifren. Elle règne sur tout l'Ifriqiya pendant cinq ans, avant d'être vaincue dans la dernière bataille contre les Omeyyades. Elle a été la seule femme de l'histoire à combattre l'empire omeyyade. Les Omeyyades demandent, en contrepartie, aux Zénètes de fournir 12 000 hommes de combat pour conquérir l'Andalousie, sans cela la guerre continue. L'intervention de Musa ben Nusayr règlera le problème en nommant un aurassien Tariq ibn Ziyad (Zénète de la tribu des Nefzaouas) à la tête de l'armée Zénètes et des autres berbères.
Après la défaite de la Kahina, la population des Aurès a adhéré aux principes de l'Islam. le commandant Musa ben Nusayraugmenta son contingent militaire en intégrant des Berbères des Aurès nouvellement convertis pour convertir les autres populations sous la direction du berbère Nefzaoua Tariq ibn Ziyad.
Plusieurs conflits entre les Berbères et les autres dynasties arabes (OmeyadesFatimidesAbbassides) sont signalés par les historiens dans la région des Aurès comme Al Bakri et Ibn Khaldoun. Abu Yezid de la tribu des Banou Ifren renversera lesFatimides avec l'aide des tribus Zénètes des Aurès. Mais, il sera vaincu par les Zirides alliés au premier temps aux Fatimides.
Les Hilaliens gagnent la bataille contre les Berbères. Il y aura un arrangement entre les deux parties. Les Hilaliens venus avec leurs familles vont vivre avec les Berbères avec parfois des tensions entre les deux. Il s'ensuit une période d'unification avec la dynastie des Almohades (dynastie berbère). Les Hafsides(dynastie berbère) prennent toute la région jusqu'à l'arrivée des Ottomans.
Au xixe siècle la région est semi-conquise par les Français. Plusieurs révoltes (Ahmed Bey, les Zaatchas, les mouvements nationalistes algériens, etc.) vont se soulever contre l'occupation française jusqu'au déclenchement de la Guerre d'Algérie. Les Aurès seront les territoires qui abriteront plus de 20 000 maquisards. Le cœur de la révolution algérienne tient aux hommes et aux femmes des Aurès qui ont tant sacrifié pour que l'Algérie soit libre et indépendante. L'Armée française subira la plus grande défaite après l'Indochine dans le sol des Aurès



khenchela

appellation :
Polisseuse ou Mascola Mascula; Mascalae; Maxila. L'ancien nom, qui est due à l'utilisation du deuxième siècle avant JC, où elle était principalement une zone militaire nommé par Vénus caractéristique de la région à partir d'un peloton Mascholls Orchid Orchid Orchis Mascula.
Khenchla ou Khanfal dit les filles sont Dhah (Emczunc et Khanfal) tiré sur la ville indépendante de l'organisation Mascula. Khenchla signifie ange, un symbole de paix, qui est un mot composé «une Henshala" sont et Shalla également été démontré dans certaines sources, il a été aussi appelé b Hensla Hansala où sont le mot qui signifie l'oiseau ou la colombe ou le poulet et le mot vente ou Chola est une abréviation du mot paix ou Falm dans les langues vieux. Et qui est venu étiquettes et Angela Hensala et Henkel. Khenchla ou Angela.

État est situé Khenchla au Moyen-nord algérien, en particulier dans le domaine de l'Aurès amazighe, est l'état n ° 40 dans la division administrative de l'Algérie a émergé comme un état après la partition de 1984 médiatise toute la province de Tebessa dans l'est, et le mandat ou le résidu dans le nord et l'état de Batna à l'ouest et les Etats de la vallée (Valley) et Biskra Jnoba.iatkd la ville tire son nom du nom de la fille de la reine amazighe Bahah connu chez les Arabes au nom prêtresse. L'Etat est célèbre pour son patrimoine Khenchla Chaoui du patrimoine riche et il ya une majorité de la population de l'État sont berbère amazigh, la langue de l'État par le commerçant est dialecte tamazight Chaoui et résidents Khenchla gens sont désireux sur un retentissant tiers nationaux amazighs en violation de la loi islamique. L'état est situé à une altitude de 1200 mètres au dessus du niveau de la mer, est caractérisé par Khenchla salles de bains métal dans la mesure où les Romains réputés pour leur amour de la piscine à l'époque, ils ont créé de nombreux Mnhamountqh, et la plus célèbre salle de bain juste, qui puise son eau à partir d'une température de printemps de 76 ° C. Situé à environ 450 kilomètres de la capitale Alger,

Khenchla dans l'antiquité 
Mscal Numidie pré-romaine
Le mandat de la Khenchla des villes les plus anciennes et les États ville Khenchla connu dans l'Antiquité comme le "Mascola ou Mascal» «mascula» C'est ce que nous raconte son voyage de guidage Antonin Ougusreis "itinerarium antonini Augusti" et les écrits des hommes d'Eglise, comme Obtatos ml et plafonds Ougustinos et confirmé, une inscription a été trouvée dans la seconde moitié du siècle dernier, qui reflète que Mascola était dans le deuxième siècle avant JC, appartenant au royaume dont la capitale Nomideh Serta ou Ksentinih. Comme la ville était connue depuis le dernier quart du VIe siècle au nom de Mascola Typria "Mascula Tibériade», ce titre, qui a obtenu il entre les années 578 et 582 quand les murs ont été reconstruits au cours de la révolution dirigée par dirigée par Almurion: Nllekem Qasmol "Gasmul
Il convient de souligner que l'histoire ancienne de Khenchla "Mascula" et en particulier la période antérieure à l'occupation de l'Empire romain est encore inconnue, mais que certains des dialogues menés avec le Dr Yahya Bouaziz confirme que, dans cette période a été Khenchla du plus fort Alolaayat numide où il comprend des hommes plus âgés ont décrit les maisons patriciennes alors médiévales ils sont l'élite: armées seigneurs de la guerre et les propriétaires de féodal et cela se traduit par quelques-unes des inscriptions sur pierre découverts récemment et qu'il en même temps on craignait d'être séparé pour être le seul Etat comme les princes identificateurs dans la région Brigh righat ils à l'origine descendent de tribus Alzenath Vkro plusieurs fois pour sortir de la Uni Numides et ont eu des accrochages avec eux pour être condamnés à certains sénateurs ont empêché la scission, car un tiers de la Numidie armée était de tribus multiples Chaoui restent biographie Alantmealy Armée de base et sacré dans leurs enfants à la journée et pour le mâle mentionne certains chercheurs datent que le Royaume de Wade Reggae construit à Ouargla au Moyen Age le premier est rien d'autre qu'une tentative de certains princes Righ dans la création d'un royaume indépendant entre eux étant réunis en une course d'un mais malheureusement il n'a pas duré longtemps, et un peu Alomraalbaqon allé à la ville Mzellouk (près de la ville de Sétif Osso actuellement grande ville, mais sous l'autorité numide a toujours fait Ishqo désobéi obéissance alors Atjho sud aux héros Palais de l'état n'a pas mentionné la date de ces familles, mais peu dans certains des livres turc, français, et il a mentionné quelques titres, comme le titre: Rzaimah qui est à l'origine Rizamah rizamihe et titre: Darman, qui dorgouman origine Durgoman, y compris aussi la famille des princes de s'éteindre et que la flagellation était en fuite du pays un pays qui les avait princes armées et jure Chaoui qui Ansabo chef leur roi qui a fondé le royaume, le commandant de cette famille est étiqueté Fredhan Olqathen al-leggathhen-voir pour le qat roi des Berbères et surnommé ce Alailh actuellement b: à qat ils sont déployés entre Sétif, Bordj Bou où finit par fuir les grands-parents les-comme celui de la France dans la destruction Snoah de l'Algérie a été pour le général Salan, l'un de la mine de coup être accompagné toujours comme c'est le cas avec les hommes politiques, a prévenu ce dernier que la gloire de la Numidie reviendra aux mains du fils de Fredhan appelé au nom de son nom de le titre Klqubh comprend toute l'Afrique du Nord par la force et régner à quarante thème général où l'ensemble de Dahr Méditerranée alors que souvent le sang dans les hauts plateaux, décrit Kgda nerveux Itasb son opinion ont tendance à faire face à des adversaires dans les dirigeants et le respect ininterrompue lui Nadeer soutenu générale comme vous accusez de tuer des gens et gouverner le pays dans les coulisses Atkablan autant que l'on sache, parce Bdaat Tmrshma dans la politique était l'un des de l'Empire du Milieu Alsnossin aura comme un père, et il peut être et est nommé par l'arbitre, parrainé par le froid lui et laisse le pays dans ses mains avant qu'il camoufle. Était Salan Quand j'entends cet argument dit Whitney j'étais - Aghero note pour fille Salan.ouma cette thèse ou une hypothèse qui parlent du retour du prince tsar barbare qui Ntmana soit correcte et nous adhérons pleinement, mais nous sommes en fait la réalité bientôt fonctionner dans un grand vide dans le matériau historique sur la période entre l'Antiquité et le début de l'occupation romaine, ce vide, ce qui est dû à un manque d'intérêt pour les écrivains et les chercheurs anciens dans cette importante étape historique de notre histoire nationale connue comme l'ère de royaumes indépendants alors que la souveraineté numide et Alorih a imposé sa présence sur la scène internationale, de sorte que les auteurs anciens qui ont écrit sur anciens savants du Maghreb tels que
Intéressé principalement l'histoire des événements qui ont à voir avec l'histoire Alromagn.hma et chercheurs engagés qui ont des technologies dans le siècle dernier, que ce soit intentionnellement (peut-être par crainte que le mythe commun vivra en nous Xinhua numide) ou non, un crime contre l'histoire locale, et que négliger tout ce qui est non-romaine, ce qui les vestiges archéologiques de la fonction de l'existence de la civilisation beaucoup locales de sites archéologiques vulnérables aux pillages et Alziaa.otsbb en présence de ce cercle vicieux qui les subissent, et était Khenchla comme de nombreuses villes algériennes ont déplacé directement à partir de la pierre âges à l'époque romaine, et c'est totalement incompatible avec une logique basée sur l'interaction culturelle historique des peuples.

Rumaila-khenchela-


Municipalités Rumaila encercler la CAQ mandat du Khenchla algérien. Le sol fertile de nature caractérisé par des paysans qui cultivent le blé et l'orge.
Rumaïla est considéré comme le plus important des plaines en Algérie après facile Mutaijh et célèbre pour la culture de grains de blé et d'orge, qui contribuent sensiblement à la production locale de blé, d'orge et noir Alaedm de la population de la commune de Rumaïla du trône des enfants sont heureux, d'origine amazighe





kais -khenchela-





kais  une des communes du département de l'État de la kais  Khenchla algérien. Situé à l'ouest Khenchla.
La majorité de la population de la kais de paysans en plus de divers métiers et emplois. Parmi les plus célèbres Almakulat Alqaasah qui ne diffère pas des autres régions couscous et Alchkhuchh. Alervais et Tmana et en direct ............
La kais  a été construit par la prêtresse, qui a gouverné la région appelée terre Auras sur lequel il est de la kais , mais terre bénie de la prêtresse. Rejoignez le début de la construction de la kais  est un 1907/1911 appelle Edgar Quinet "philosophe penseur et poète fils français moderne de Jérôme Kane. Maintenant, la ville de la kais  des plus célèbres villes les Khenchla à la grande population et son évolution a construit de nombreuses installations Alamomcima 2005 Non seulement cela, mais d'une très 2008-2012 était construction des stades et des sports rôle et le rôle de l'éducation, le logement, et beaucoup, beaucoup d'intérêt public