dimanche 12 octobre 2014

jeudi 25 septembre 2014

Alger



  • LLe Front de Mer d'Alger
  • Capitale politique, administrative et économique de l’Algérie et port de la Méditerranée. L’agglomération du grand Alger compte 2,5 millions d’habitants dont 1 million dans le centre (la ville d’Alger).
  • Alger est une métropole complexe mais aussi une ville très simple à saisir : la baie en faucille, la cité accrochée au-dessus d’un petit port et des promontoires assurent une bonne protection.
  • Ses étendus à l’Est, à l’Ouest en ramifications latérales amplifient l’impression de grandeur.
  • La ville d'Alger est un labyrinthe de ruelles et d’impasses ; les escaliers, très nombreux et très variés (larges, étroits, hauts…) sont très pratiques pour sillonner cette architecture en cascades.

  • Le Jardin d'Essai d'Alger
  • Les constructions coloniales, se mêlent aux constructions musulmanes avec une parfaite homogénéité, peintes en blanc elles donnent à Alger l’impression d’étendue, un air marin et une pureté unique. Sous la colonisation française, Alger se doubla, plus que toutes les autres villes d’Algérie, d’une nouvelle vie et ville européenne.
  • Dans beaucoup de quartiers, les rues à arcades rappellent fortement celles de la rue Rivoli à Paris. La vie à Alger est trépidante, l’activité économique, scientifique, sociale et culturelle y est très riche. C’est surtout une ville de jeunes, d’étudiants qui s’organisent en associations, qui sortent et qui vivent !
  • Les manifestations culturelles, les manifestations sportives, les concerts de musiques, les spectacles et les fêtes sont toujours joyeusement célébrés.

  • La Basilique Notre Dame d'Afrique d'Alger
  • Le boulevard Mohamed Khémisti : Cette trouée face à la mer marque l'axe médian de la ville. Cette large voie s'élève vers l'esplanade de l'Afrique (belle vue), face au Palais du Gouvernement, il est dominé par la masse rectangulaire de l'hôtel Aurassi.
  • Au bas du Boulevard : la Grande Poste (style néo-mauresque).
  • Le Front de Mer : On y trouve les Boulevards Zighout Youcef et Ernesto Che Guevara, on traverse la Place Mohamed Touri où se trouve le TNA (théatre national algérien) - La Gare Centrale d'Alger est située en contre-bas de cette place - Plus au Nord : les constructions harmonieuses de l'Amirauté prolongeant le Front de Mer. L'Amirauté est batie sur un des ilôts primitifs qui donnèrent leur nom à la cité (el-djazair). C'est là que Pédro Navarro avait édifié le Penon pour menacer la ville d'Alger.
  • La Place des Martyrs : Elle a longtemps constituée le centre d'Alger. L'animation y est toujours très importante. Elle fut réalisée du temps de l'occupation française, au pied de la Casbah dont on a démoli une partie pour les besoins de la cause. La Casbah s'élève à l'ouest de la Place.
  • Djemaa El Djedid : (Sur la Place des Martyrs) La nouvelle mosquée appelée aussi Mosquée de la Pêcherie en raison de la proximité de la Halle des poissons. Elle fût bâtie en 1660 à l'époque de la régence turque, selon un plan en forme de croix.
  • Djemaa El Kébir : La Grande Mosquée, c'est la plus ancienne d'Alger, elle fût construite au XIème siècle par l'almoravide Ibn Tachfin. La décoration intérieure est sobre et les lignes sont pures.
  • Mosquée Ketchaoua : Bâtie en 1794 par le Dey Baba Hassan, elle servit plus tard au culte catholique et fut transformée en cathédrale, avant d'être récupérée par le culte musulman à l'indépendance. En face de la Mosquée Ketchaoua se trouve la belle demeure : Dar Aziza Bent El Bey (le palais de la Princesse Aziza).

  • La Casbah d'Alger
  • La Casbah : Elle constitue la vieille ville d'Alger, la cité turque autour de laquelle se sont pressées des constructions hétéroclites. A l'origine le mot "casbah" désignait la citadelle qui surplombait la ville "la médina", peu à peu le terme engloba la cité elle-même.
  • Les remparts qui protégeaient la Casbah, ainsi que le haut et le bas de la cité ont aujourd'hui disparus. "Construisant leur casbah, les anciens avaient atteint au chef-d'oeuvre d'architecture et d'urbanisme" disait le Corbusier.
  • En effet, cette masse compacte au coeur d'Alger ne cesse d'émerveiller et de surprendre. Accrochées à flanc de colline, les maisons se superposent, les terrasses dominent d'autres terrasses où, sur fond de mer, flottent des lessives bariolées. Des rampes, des escaliers, des ruelles sous encorbellements ou parfois couvertes, des chicanes, des boyaux, tout fait de la casbah un véritable labyrinthe, où l'on a plaisir à se perdre.
  • Musée des Arts et Traditions Populaires : Dans le bas de la Casbah, le musée est installé dans l'ancien palais de Khedaouedj El Amia (une belle princesse qui perdit brutalement la vue). L'élégante demeure a été construite au XIV° siècle sur l'emplacement d'une zaouia du XII°siècle. Citadelle : En haut de la Casbah, ce fort situé à un point culminant (on y accédait par Bab El Djedid) regroupait le palais du Dey et des édifices d'utilité militaire.
  • Bab El Oued : Quartier s'étirant au nord-ouest de la Casbah, bâti à la fin du siècle dernier, ce quartier européen grouillait de petits commerçants. C'est encore là que l'on peut se procurer les produits introuvables ailleurs.
  • Riadh El Feth : A côté de l'immense monument de béton de 92 mètres de haut (on le surnomme "Houbel") un complexe de 146 ha qui se veut à la fois temple de la culture et centre des arts. Au milieu des jjardins, des centres socio-culturels, des bibliothèques, un théatre de plein air, trois cinémas et des boutiques et restaurants en tout genre







Constantine

La ville de




Constantine (en arabe Qacentina) est une ville de nord-est de l'Algérie, elle est également le chef-lieu de la Wilaya du même nom. La population de la ville est estimée à 448 374 habitants (2008). Constantine est aussi connue sous d'autres noms comme « la ville des ponts suspendus » ou bien « la ville des aigles ».
Constantine possède un charme unique en son genre de par son histoire et ses richesses naturelles, une ville littéralement coupée en deux par                                                                  Constantine, à l'origine...
La fondation de la ville remonte à -202 av. JC., autrefois Constantine était une importante ville phénicienne appelé Cirta, elle devenu la capitale du Royaume de la Numidie lors du règne de Massinissa qui était à l'époque l'allié de Rome.
En l'an 301 ap. JC, Cirta fût détruite complètement lors de la guerre entre l'empereur romain Maxence et le gouverneur romain Domitius Alexander. Quelques années plus tard l'empereur Romain Constantin Ier reconstruis la ville et lui donna le nom qu'elle porte maintenant depuis 17 siècles. Constantine fût conquise lors de l'invasion arabe au 7ème siècle, les arabes lui donnèrent le nom de Qusantina.
Le 13 octobre 1837, après une lutte farouche contre l'occupant français, Constantine tombe et devient partie intégrante de l'Algérie française. Durant la Seconde Guerre Mondiale, Constantine est utilisée comme base opérationnelles par les forces alliées.un vide abyssal que relient de multiples ponts...
La situation géographique de Constantine
La ville est située sur un plateau rocheux à 640 mètres au-dessus du niveau de la mer. Elle est littéralement coupée en deux par un profond ravin où coule l'oued Rhummel. Le ravin est traversé par quatre ponts qui relient la ville entre elle. Le canyon fait 1 800 m de long et atteint une profondeur de 135 m à son début à près de 200 m au niveau du pont de Sidi M'cid.
Constantine bénéficie d'un climat de type continental caractérisé par des minimales de 0 à 12° en hiver et des maximales de 25 à 45° en été.
Constantine, une économie à développé
Constantine dispose d'une zone agricole prospère et diversifiée, autrefois Constantine était le grenier de l'Empire Romain.
Constantine est tournée vers l'international, preuve en est, la ville est jumelée avec les villes d'Istanbul (Turquie), de Grenoble (France), de Mulhouse (France) et de Sousse (Tunisie).
Les infrastructures de transports sont conséquentes avec notamment la présence d'un aéroport international, d'une gare ferroviaire et d'une gare routière. Un projet de construction d'un tramway est en cours (2012).
La ville de Constantine est aussi un important centre culturel, architectural et industriel avec notamment la présence de deux grandes universités : l'université Mentouri de Constantine (UMC) est l'une des plus grandes d'Algérie et l'université des sciences islamiques, une merveille architecturale.
Les endroits à visiter de Constantine :
- Le Pont Suspendu de Sidi M'Cid a été construit en 1912 juste en haut d'une arche naturelle. Le pont est d'une longueur de 164m et d'une hauteur de 175m, depuis le pont la vue offerte sur les gorges et la vallée du Hamma est fantastique.
- Le Monument aux Morts est un Arc de Triomphe situé en haut d'une falaise de la rive droite offrant une superbe vue sur Constantine.
- Le Pont d'El Kantara, le Pont Sidi-Rached, le Pont du Diable et le Pont des Chutes.
- La Mosquée Emir Abdelkader qui partage les bâtiments de l'Université des Sciences Islamiques est un chef d'oeuvre architectural de l'art arabo-andalou.
- Le Musée de Cirta date de 1930 et présente diver vestiges antiques, numides et romains ainsi que des collections de peintures orientalistes du XIXe siècle.
- La Brèche (Place du 1er Novembre) est une place du centre ville de Constantine, elle tient son nom du fait de l'invasion française, c'est à cet emplacement que les soldats français furent une percée et ainsi occupé la ville.

Annaba

Quatrième ville d'Algérie avec prés de 305 000 habitants, port drainant les richesses minières et agricole de l'Est algérien, centre industriel proche du puissant complexe sidérurgique d'El Hadjar, Annaba présente l'aspect d'une ville moderne en pleine expansion.
Un urbanisme de bon aloi et sa situation même y rendent le séjour agréable. En outre, la mise au jour d'une grande partie de l'antique ville d'Hippo Reguis – Hippone place Annaba parmi les grands centres touristiques du Maghreb.
Plante de ficus ombreux, orné de parterres fleuris, bordé de maison à arcade et de magasins, le cours est à Annaba ce que les Ramblas sont pour Barcelone.
Toute la journée, et davantage le soir, la ville entière s'y retrouve. On y déambule avec nonchalance! A droite du cours en venant du port, la « Annaba » occupe une butte rocheuse que la mer jadis venait lécher
Des rues en pente et des ruelles en escaliers conduisent jusqu'à la mosquée Sidi Bou Merouane d'où l'on a vue sur le port, plusieurs colonnes de la salle de prière proviennent des ruines d'Hippone.
Au centre du vieux quartier, une place ombragée, la place du 19 Août (place d'armes) est envahie par les guéridons des cafés d'alentour.
La façade d'une mosquée du XVI siècle en occupe un coté et un minaret fuselé, caractéristique de l'époque turque, domine les vieux toits.




La wilaya de Béchar

La wilaya de Béchar est située à l'ouest de l'Algérie en plein désert saharien.
La population totale de la wilaya est estimée selon le dernier recensement à 273 208 habitants et la superficie totale de la wilaya est de 162 200 km2.
La wilaya de Béchar est entourée au nord par la wilaya de Naâma, à l'est par la wilaya d'El Bayadh, à l'ouest par le Maroc et au sud par les wilayas d'Adrar et de Tindouf.
Les principaux reliefs de la wilaya sont composés de :
- Montagnes : Djebel Antar (1 953 m), Djebel Grouz (1 835 m), Djebel Béchar (1 206 m).
- Oueds : Oued Namous, Oued Zouzfana, Oued Béchar, Oued Guir, Oued Saoura et Oued Daoura.
- Vallées : Vallée de la Zouzfana, Vallée du Guir, Vallée de la Saoura.
- Regs (vastes étendues rocailleuses) : Regs Guir et Regs Daoura.
- Ergs (massifs dunaires) : Grand Erg Occidental, Erg Erraoui, Erg El Atchane et Erg Iguidi.
Le climat de la wilaya de Béchar est de type désertique continental qui se caractérise par un été très chaud (+45°C) et un hiver très froid (2°C à 3°C). Les précipitations sont de faible niveau avec 60 mm/an. Les vents de sables sont très fréquents et violents pouvant atteindre la vitesse de 100 km/h.
L'économie de la wilaya de Béchar est surtout porté sur l'agriculture (palmiers-dattiers) et le tourisme.
La wilaya dispose également de ressources minières non négligeables avec notamment le calcaire (Djebel Madjouz), les schistes (Benzireg), l'argile, le sable (Taghit, Ksabi, Tabelbala et Béni Abbès), les grès (Oued Sfala), l'agate (Béchar), le cuivre (Bou Kais, Benzireg), le plomb (Benzireg, Bou Kais), le fer (chaîne de l'augarta), le manganèse (Guetara), le charbon (bassin de Béchar Kenadsa, bassin Nezarif), le sel (Sebkhat El Mellah), l'eau minéral (Moughel).
Les infrastructures routières dont dispose la wilaya sont les suivantes : 1 108 km de routes nationales, 486 km de chemins de wilaya, 184.2 km de chemins communaux, 842 km de pistes non classés et 140 km de pistes frontalières.